UNE JOURNéE VENUE D’AILLEURS

L’observatoire était perché au sommet d’une colline enneigée, surplombant les vastes plaines glacées de Russie. C’était une demeure, construite de pierres mauvaises, résistante aux vents tranchants qui sifflaient invariablement via les interstices des murs. À l’intérieur, les caprices d’un poêle tentaient de écarter le indolent,

Le vent hurlait qui entourent le mirador, secouant les lourdes fenêtres de cristal embué. À l’intérieur, Alexeï, fiévreux, compulsait ses annotations en quête d’une motivation intelligence. Il avait repéré cette multitude l'obscurité précédente, mais ce soir encore, elle brillait au même point célestes, stable et cependant bien si